o teu corpo firme, contra o qual a noite não pode,
que a sede adia >
Camille Claudel
Sakountala ou O abandono
«Enfin réunis après une si longue séparation. Se retrouver au Nirvahna, délivré de cet enchantement. Et enfin l'abandon dans ses bras. Il est là, solide. Elle peut s'appuyer sur lui sans crainte. Ils ont résisté, ils ont tenus, ils ont été les plus forts face à l'adversité. Enfin ce bras qu'elle tenait replié sur sa poitrine, peut glisser et bientôt étreindre son amour. Sa tête peut se poser, se reposer, se déposer. Mon Amour. Est-ce Camille à la recherche de Rodin ? Est-ce Sakountala retrouvant son époux ? Est-ce moi te retrouvant après ce long silence ? Tu es là, je sais, je sens, je me laisse à l'abandon de tes bras. Plus forts, plus grands, plus amoureux que jamais, à jamais. Mon Amour.»
Etiquetas: (des)considerações sobre arte, Camille Claudel, grandes amores
posted by saturnine | 03:08 |
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